C’est une véritable épopée que nous vivons, à suivre ainsi le peuple nomade créé par Etienne Perruchon. Après la « Soucoupe » à Saint-Nazaire, nous avons connu l’immense plaisir de jouer et de chanter les mélodies aux accents gutturaux, slaves ou polyphoniques de « Dogora ou l’histoire d’une humanité en marche »… dans la salle d’Atlantia à La Baule.

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