« Les nomades dogoriens aimaient se retrouver le soir et danser accompagnés des instruments les plus improbables récupérés pendant leurs voyages. Djôvak est composée d’après des airs retrouvés dans le manuscrit Proszeshniak. On peut très nettement sentir les influences musicales des pays traversés. Il ne reste que très peu de musiciens dogoriens itinérants cependant des documents témoignent de l’existence de petits orchestres de rues jouant les fameuses danses, les Djôvak. »